Fenrir a été mordu par un loup-garou lâché par des sorciers qui avaient menacés ses parents. En effet, quelques-uns avaient réussi à deviner que les Greyback n'étaient pas des sorciers mais bel et bien des Moldus. Exaspérés par un tel toupet, un groupe de jeunes extrémistes avaient alors envoyé une missive à Mr et Mrs Greyback dans le but de les inquiéter et de les mettre en garde. Hélas, avec bêtise rime bien souvent entêtement. Aussi, les parents de Fenrir refusèrent de se faire menacer et ne prirent pas en compte les avertissements.

Devenu loup-garou peu après la fin de sa désastreuse scolarité, Fenrir n'avait plus aucun avenir. Le peu de culture qu'il avait doublé à sa grossièreté légendaire et son nauséabond état physique faisaient de lui une personne repoussante, négligée et méprisable. Aussi décida-t-il de vivre en solitaire, en marginal. Il n'avait que faire des autres : pour lui les sorciers, et les humains en général, n'étaient bon qu'à être ses repas. Absolument pas empathique ou épris de remords, Fenrir tuait à la volée, sans jamais même se poser de question. Il fut sans doute le premier loup-garou à mordre alors qu'il n'était pas transformé.

Véritable psychotique, ses troubles obsessionnels compulsifs sont indénombrables ; quant à son goût prononcé pour les enfants, il inquiète plus d'un sorcier. En effet, Fenrir ne se cache pas que la chaire fraiche est plus exquise encore que celle simplement en vie. Aussi fait-il des enfants ses victimes privilégiés, dépassant souvent les limites de la décence avec eux. Effectivement, il n'est pas rare que Fenrir joue avec la nourriture.

Il était évident que les Mangemorts approcheraient tout ou tard Fenrir Greyback, le loup-garou qui terrorise les sorciers. Mais à sa grande déception, Fenrir ne put rejoindre les rangs. Assoiffé par son envie d'anarchie, de meurtres, de crimes et de sang, il n'a pas démontré d'aptitudes autres que d'être un animal, un loup-garou. Sa bêtise et sa grossièreté agacent même les Mangemorts généralement issus de milieux aisés. Alors Fenrir est traité comme un animal, le chien des Mangemorts qui attaque lorsqu'on le lui demande. Mais tout le monde sait qu'un chien battu finit inéluctablement par mordre son maître...

Gill n'avait que cinq ans lorsque sa famille fut décimée par une dizaine de Mangemorts. Ces lâches étaient venus en nombre pour liquider ceux qui avaient tant combattus pour protéger leurs enfants. Mr et Mrs Valerie avaient refusés de laisser leur fils, Upton, aux Mangemorts qui le mèneraient à l'Alakazam. Aussi, ils s'étaient battus, de toute leur force, et avaient fini par achever les deux Mangemorts missionnés. Mais Lord Voldemort étaient tenace tout comme la Ministre de la Magie qui dépêcha alors un bataillon de sorciers. Le couple fut désemparé, il ne put résister face à leurs agresseurs en nombre. Gill eut tout juste le temps de sortir par la porte derrière pour courir dans la cabane du jardin. Sa petite taille lui avait permis de ne pas se faire repérer car la maison était encerclée par les Mangemorts, silencieux, qui tenaient des torches enflammée tout en demeurant immobiles. Ils indiquaient clairement que, cette fois, il n'y aurait aucun survivant.

Des sortilèges et des maléfices volèrent durant quelques minutes. Parfois des hurlements aigus se faisaient entendre, ils dressaient les poils sur l'échine de Gill. Car ses cris perçants ne provenait que de sa mère. Pourtant le supplice ne dura pas car bien vite les Mangemorts eurent raison de toute résistance. Ils tuèrent les parents et l'enfant : Upton.

Upton avait été un merveilleux grand frère, ainé de deux années. Ensemble ils étaient des enfants heureux, resplendissants et joueurs. Si proche qu'ils étaient fréquemment considérés comme jumeaux. Sa mort, avec celle de ses parents, fut un drame pour Gill. Aujourd'hui encore la haine et la rancœur ne l'ont pas quittée, d'autant que ces meurtres l'ont privée de Poudlard mais aussi de toute famille et d'amour.

Aujourd'hui Gill est une tueuse sanguinaire qui ne se meut que pour achever du Mangemort. Elle est telle une bête féroce tapie dans le noir qui use de sa ruse et sa malice pour entrainer ses proies dans des pièges machiavéliques et sadiques où le sang coule à flot. Elle s'appelle Gill U. Velerie, a 17 ans, et fait trembler les Mangemorts. Elle est la veuve noire des serviteurs des Ténèbres.

Schuyler n'a jamais été convaincu par la mort de ses parents. il ne pouvait se résoudre à l'idée que de si puissants sorciers et put être assassinés par de simples moldus et malgré les protections magiques entourant le manoir familial. A Poudlard, alors, il se démena comme un diable pour acquérir d'importantes connaissances magiques pour tenter ensuite d'élucider cette énigme.

A la sortie du château, Schuyler se mit donc en quête d'indices, de témoins : n'importe quoi. Il parvint à trouver tout cela et bientôt la clé du mystère. et tout ceci avec une étonnante facilité alors même que la Police magique n'eut jamais le moindre indice. Le jeune homme parvint à résoudre l'affaire dans laquelle des sorciers peu recommandables étaient mouillés jusqu'au dessus de la tête. Ne voulant pas s'arrêter en si bon chemin et précédé par sa victoire sur le silence, il accepta les clients qui se précipitaient à sa porte afin qu'il résolve des cas de disparitions, de meurtres, etc...

Aujourd'hui, Schuyler est un détective privé accomplit. Son nom est synonyme de vérité. Méticuleux, esprit vif et résistant, l'homme brille aussi et surtout par son entêtement, ses méthodes absurdes voire grotesques et son goût pour le cynisme, la farce et l’inattendu. Grand farceur, il exaspère autant qu'il impressionne. Aussi, Schuyler n'a jamais réussi à conserver l'une de ses nombreuses conquêtes au point d'être aujourd'hui un terrible tombeur en même temps qu'un vieux garçon dont personne ne veut.

L'homme, réputé et quasi légendaire, a pourtant du s'exiler après avoir rendu publique beaucoup trop de sombres affaires de Lord Voldemort. Toutefois, il a organisé son grand retour qu'il a magistralement exécuté. Adepte des entrées et sorties fracassantes, personne dans le monde magique n'a pu ignorer ses dernières frasques. Pourtant, sous ses airs naïfs Schuyler connait le danger qui le guette si les Mangemorts lui mettaient la main dessus. Hélas, dérangé comme il est, il refuse de se terrer chez lui et de s'interdire les enquêtes. C'est pour cela qu'aujourd'hui il reprend du service, pour le meilleur mais surtout pour le pire !

Ce n'est qu'un an après sa sortie de Poudlard que Philander du affronter l'assassinat de ses parents. Aujourd'hui la jeune reporter porte sur elle le poids de la culpabilité de ce meurtre orchestré en réponse aux pamphlets qu'elle a écrit. En effet, celle qui se fait aussi appeler 'Norma' est une auteure engagée qui n'a cessé d'enquêter et dénoncer.

A Poudlard, Philander était de celle qui fouinait partout et glanait dans le but de dénoncer. La jeune Serdaigle d'alors accumulait les ennemis alors que ses soutiens se faisaient rares ou timides. Fidèle alliée des plus faibles, elle était souvent la seule à oser s'ériger face aux plus puissants. Elle agaçait au point de subir une multitude de châtiments corporels et psychologique dont l'aboutissement fut le meurtre de ses parents. Beaucoup de signes avant-coureur avaient indiqué à Philander que ses parents pourraient être tués en guise de représailles. Cependant la naïveté de la jeune d'alors lui dictait de ne pas tenir compte de ces détails et de poursuivre sa lutte. Aujourd'hui, la jeune femme ne peut passer une seule seconde sans imaginer ce qui aurait pu arriver si elle avait cessé d'écrire et de dénoncer. Cependant, afin de poursuivre son combat, Philander enquête et dénonce quant aux agissements des Mangemort. Fugitive, il lui arrive parfois d'approcher le rédacteur-en-chef de la gazette du Sorcier qu'elle essaye de faire chanter afin qu'il puisse publier ses écrits dans la Gazette du Sorcier.

Barthemius est un sorcier que l'on cerne difficilement. Faisant passer ses intérêts avant ceux des autres, il n'hésite pas à soudoyer, manipuler et même écraser les plus faibles pour obtenir ce qu'il désire. A l'opposé du comportement social de feu son père, il se révèle être un patron abominable en même temps qu'un tacticien hors pair.

Rédacteur-en-chef à la Gazette du Sorcier, il demeure avant tout un électron libre que Lord Voldemort ne cesse d'inquiéter voire de faire chanter afin qu'il mette à sa botte le quotidien le plus lu de Grande-Bretagne. Barthemius va donc jusqu'à renier les acquis et les valeurs transmis par ses parents afin d'assurer la pérennité de son journal et de sa vie. Eux deux sont d'ailleurs intimement liés : Barthemius considère ce qu'il appelle comme "son journal" comme sa propre vie. Dès lors, il manie ses employés d'une main de fer, tel un véritable despote. Enchainant les mauvais traitements, les licenciements abusifs et même les châtiments corporels, il est la terreur de ses employés et des puissants. Maître de la calomnie et des coups bas, Barthemius peut défaire et faire une réputation quand bon lui semble.

A Poudlard déjà il était un élève influent et malin duquel l'on ne s'approchait pas trop autrement qu'en des termes amicaux. Aujourd'hui rien n'a changé : il inquiète beaucoup de sorciers. Enfin, il joue de son exceptionnel carrière et de sa fortune pour obtenir privilèges, faveurs et présents. Il ne cesse de rappeler qu'il contrôle le monde de par ses publications qui peuvent être assassines. Enfin, Lord Voldemort le tient en bonne estime à condition qu'il soit un rédacteur soumis et docile. Parfois des Mangemorts viennent lui rappeler ses obligations ou encore lui faire regretter quelques publications jugées trop impertinentes vis-à-vis du Seigneur des Ténèbres. Barthemius se révèle d'ailleurs être un piètre magicien qui ne sait réaliser que le strict minimum en magie.