‟ALAKAZAM ϟ
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 Jett - « la vie c’est une merde par jour, faut t’habituer à l’odeur »

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Jett - « la vie c’est une merde par jour, faut t’habituer à l’odeur » Empty
MessageSujet: Jett - « la vie c’est une merde par jour, faut t’habituer à l’odeur »   Jett - « la vie c’est une merde par jour, faut t’habituer à l’odeur » EmptySam 22 Déc - 2:25

Jett Aaliya Kaleigh

âge : 31 ans ϟ naissance : 05/07/1952 à Rouen (France) ϟ nationalité : anglaise ϟ sang : mêlé ϟ classe sociale : haute bourgeoisie ϟ opinion politique : résistante (dans l'ombre) ϟ statut : célibataire ϟ sexualité : hétérosexuelle ϟ particularité : occlumens (en attente) ϟ patronus : un caïman ϟ épouvantard : pour le moment, aucun ϟ baguette magique : bois de houx, 24 cm, contient de la peau de tébo ϟ qualités : silencieuse, franche (quand il le faut), téméraire ϟ défauts : impatiente, froide, associable ϟ métier : employée au service du réseau de cheminette

‛forward to time past
☞ Ce que votre personnage pense de l'Alakazam et du Tri natal
Immondice, est le seul mot qui me viens à l'esprit, mais que peut-on attendre d'une bête -il n'est pas un homme, pour moi- aussi infâme qu'est le Lord noir ? Envoyé des petits gars de sept ans à l'Alakazam, les faire s'entre-tuer entre eux, je trouve ça...inhumain et que Dieu m'en sois témoin -hey, depuis quand tu prie le tout puissant ? ferme-là, je fais la parlotte- jamais, aucun de mes enfants n'ira dans ce trou à raton laveur. Et quoi d'autre ? Ah, le Tri natal, aussi immonde que mettre des enfants à l'Alakazam. Écarté les enfants chétifs, difformes ou cracmols de leurs parents, je ne le conçois pas, on enlève pas un enfant à ses parents, c'est tout sauf humain !! Je suis juste...abasourdie par l'intelligence débilement et mille fois débile, qui rythme le cerveau qui fait passer ces lois affreuses. Faire des monstres et jeter ceux qui ne peuvent en devenir, pouahhhh...je suis dégoûtée de vivre dans un tel pays et j'ai honte d'y vivre, mais malheureusement, c'est mon pays, peut-être pas mon pays natale, mais j'y ais grandis, mes parents aussi, ainsi que mes ancêtres et ce sera injuste de ma part de le quitter, parce qu'après tout, le pays, la terre, était là bien avant la naissance des hommes et ce sont ces derniers qui l'ont détruit...je suis une battante, je veux que mon pays retrouve sa beauté d'antan, ses valeurs morale et surtout que cette dictature disparaisse totalement.
☞ Ce que votre personnage pense de Christobel M. Avgust, Ministre de la Magie et mangemorte notoire
Euhm...d'abord, elle a un nom affreux, une tête qui ne me reviens absolument pas et que je n'ai pas envie, du tout, de l'avoir en peinture, que dire d'autre encore ? C'est la Ministre, après tout, je ne la vois que parfaite, même si pour moi le mot parfait, me reviendrait de droit -quoi ? prétentieuse ? ah, tu parlais de toi, évidemment-, après c'est un tyran qui ressemble à un démon, pour ceux travaillant sous ses ordres, dont je fais partie, hélas, trois fois hélas. Je dois quand même admettre, qu'elle a charisme 'effrayant', mais je pense que ça doit être parce que le Lord noir est 'quasiment' elle, sans les attributs, évidemment, bref, vous m'avez compris...ou pas. Hum...je suis bien obligée de la respecter, même si je ne fais pas exactement ce qu'elle (ou le Lord) m'ordonne de faire, je suis de la résistance, je protège mes semblables, malgré que des milliers meurt presque tous les jours. En bref, je n'ai aucune opinion d'elle, elle ne m'inspire pas vraiment aussi une 'intense' réflexion, c'est juste la Ministre, ma boss et rien d'autre. Je suis ma propre voie, mon propre chemin, qu'importe les autres, je veux la paix, tant que je suis en vie et après...
☞ Le dernier souvenir que conserve votre personnage quant à Dumbledore
Un vieux papy gâteux, un peu trop naïf pour moi. Je ne le connaissais pas, personnellement, ni suffisamment pour prétendre que c'était un homme bon et puissant, mais malgré ça, je voyais qu'il luttait pour que la paix règne dans cette Angleterre dévastée par un monstre, il voulait que tout le monde puisse faire entendre sa voix, puisse sourire, puisse aimer librement, puisse avoir des enfants, sans que l'on cherche à tout saccager. Donc, on peut dire qu'il était bon ? Je le respectais, parce qu'il était la résistance, il était le bien, il voulait une Angleterre nouvelle sans dictature totalitaire...mais ce n'est pas en restant bien sagement assis -je ne connais pas forcément sa façon d'agir- dans son petit fauteuil de professeur et de Directeur de Poudlard par la suite, que le monde va changer d'un claquement de doigt. Je ne l'ai jamais approché, il était juste le symbole de la paix.
‛a window to the past
Naissance et enfance : Je suis arrivée en Angleterre, je n'étais alors qu'un bambin d'à peine quelques mois, j'étais née à Rouen, en France, dans une auberge sorcière en plein centre ville. D'après mes parents, c'était un pays qui valait le détour, notamment pour sa cuisine, ses monuments et même pour l'amour, paraîtrait que l'amour, là-bas, ça donne des ailes et ça donne des petits bambins miraculeux. Et oui, je suis une miraculée, parce que figurez-vous que mes parents n'étaient plus tout jeune, ma mère qui était moldue avait dépassée l'âge d'enfanter. Bref...lorsque je suis née, je ne dirais pas que je manquais d'amour ou quoi que ce soit dans ce genre et ni même d'argent, mes parents étaient immensément riche, mais trop vieux pour pouvoir jouer moi, donc dès ma naissance, j'ai été élevée par des tas de gouvernantes, des professeurs, je jouais avec les enfants des uns et des autres, qui ne restait presque jamais mes amis, parce que d'après eux, j'étais trop solitaire, trop froide, trop sérieuse...je ne redevenais une enfant, que lorsque j'avais mes parents avec moi, je passais les plus beaux moments de ma vie avec eux. 1953, une période houleuse dans ma famille, les gouvernantes ne restaient jamais bien longtemps, les professeurs se faisaient rare, ils préféraient tous quittés l'Angleterre avant que la guerre n'éclate. Et c'est ce qui se passa quelque mois plus tard, la guerre, qui n'était pas encore à son paroxysme comme aujourd'hui, éclata un beau jour. C'est aussi ce jour-là que changea à jamais ma vie, qui fut rythmée d'études, -qui commença dès mon plus jeune âge, je devais avoir un ou deux ans, je crois- de théorie sur l'art de cacher ses sentiments, ses pensées (l'occlumancie par ailleurs) et des tas d'autres choses. La pratique ne commença que lorsque j'avais cinq ans, un peu trop jeune, je vous l'accorde, mais mes parents estimaient que mon entraînement devait se faire jeune et je suis totalement en accord avec eux, sinon, je ne serais pas ce que je suis aujourd'hui. J'ai appris à savoir me défendre, avant même de connaître le mot 'Quidditch', je n'avais que quelques minutes de temps libre et encore, je devais les passer à réviser. J'eu une enfance pénible, si l'on puis dire, entre cours et pratique, ce n'était jamais assez pour mes parents, il fallait que je résiste, que je sache me défendre, survivre sans compter sur les autres, l'argent des autres ou sur son propre argent, savoir faire la différence entre le bien et le mal. Pénible, oui...mais aujourd'hui, je me rend compte que mes parents avaient "un peu prédis l'avenir", un avenir plus pire que lors du règne de Grindelwald et si je pouvais, je remontrais le temps pour pouvoir m'excuser de toutes les sottises que je leur ai sortis. Hélas, on ne peut ni remonter, ni changer le temps ou tout pourrait changer.

Poudlard and co' : J'ai fais mon entrée à Poudlard, avec la conviction que je me ferais des tas d'amis, que je ne serais plus jamais cette petite fille solitaire et terne, qui n'attirait personne. J'avais ce rêve d'avoir des amis, de pouvoir compter sur eux, de faire les quatre cents coup avec eux, de faire perdre ou gagner des points à ma maison avec l'aide de mes amis...oui, un rêve, qu'aujourd'hui je trouve bien naïf, on ne peut faire confiance à personne en ces temps de guerre. Les amis, ce sont des problèmes en plus, les amis, ce sont des tas de vies à préserver si tu ne veux pas souffrir et finalement, je m'en sors plutôt bien sans amis. J'ai été répartit à Serpentard, la maison des 'mages noirs' *roulement de yeux*, à cause de ma ruse et de ma trop 'grande' intelligence. C'était mal partie pour me faire des amis. Qu'à cela ne tienne, je vais me faire des amis dans ma maison, un autre rêve partie en fumée, ils étaient tous des apprentis-mangemorts. J'ai dû me faire une raison, bien plus tard, lorsque dans la maison de Gryffondor, éclata la plus grande guerre entre les deux plus grand meilleurs amis, jamais vu de tout Poudlard. L'amitié est synonyme de calamité, de souffrance, de peur. Finalement, faire mes études sans amis, était la seule option que j'avais. Une autre part d'innocence qui s'en va. Ma première année se déroula calmement, entre cours, coups-bas de la maison des rouges et ors et ceux des miens. Dans ma maison, je n'étais pas la bienvenue, parce que j'avais du sang moldu en moi et c'était indigne d'eux. Et c'était encore plus pire lorsque j'avais les meilleurs notes, parce que malgré tout ça, je restais parmi les meilleurs élèves de Poudlard, j'en étais très fière de ce titre. Mes parents, n'ont pas mal pris le fait que je sois une Serpentarde, ils m'ont juste avertis de faire attention à eux et à tout le monde aussi, que les coups par derrière était toujours présent. J'ai dû mettre en pratique tout ce qu'on m'a enseignée à ma naissance. Ça m'a grandement aidée. Ma deuxième année était rythmée par beaucoup de choses, le fait que le Lord voulait absolument voir tout les Serpentards et j'ai été la seule à ne pas m'y rendre, était une de ces choses, je me suis mise encore plus à dos mes camarades de maisonnette. Je n'en avais que faire, être sous les ordres d'un malade, ne me tentait absolument pas. Ma troisième année, c'est là que tout dérapa, la mort de mes parents. Souffrance, peur, déni, dépression. Mes notes chutèrent considérablement, j'étais devenus la risée de ma maison, je n'étais plus que l'ombre de moi-même, une vraie zombie et je n'avais personne à qui me raccrocher, si ce n'est aux souvenirs, qui n'était hélas pas tous aussi joyeux que je l'aurais souhaiter. Puis, j'ai décidée de tout oublier, de ne penser qu'à l'avenir, remettre le masque, repousser les autres encore plus durement, parce que finalement l'amitié, même si c'est précieux en temps de guerre, ce n'est qu'un sentiment pouvant être occulté facilement. Les entraînements que je me donnais à moi-même, que je me forçais à apprendre, n'était en faite que pour oublier le reste. Et ma scolarité se termina, je ne dirais pas 'que tout était bien', mais c'était acceptable.

La vie active et les adultes : Mes études terminées, je pouvais 'pratiquement' prendre ma retraite, j'avais une fortune colossale pour moi toute seule, j'avais une agence de voyage exceptionnelle, bref, je pouvais vivre sur mes lauriers, voyager où je voulais, fuir n'importe où...avoir des amis en dehors de l'Angleterre. Mais je n'étais ni paresseuse, ni lâche et les amis, pourquoi en avoir ? Je suis donc rester ici, en sachant parfaitement que je ne survivrais peut-être pas, que je pourrais mourir demain. Mes parents, ne le disaient peut-être pas clairement, mais je sais qu'ils comptaient sur moi pour aider l'Angleterre au maximum, lui redonner sa gloire et sa beauté d'antan, faire respecter ses valeurs morale comme autrefois ou sinon mieux. Redoré le blason de l'Angleterre à travers le monde. Mais ce n'était pas aussi facile, les gens ne faisait pas confiance à une élève sortant de Serpentard et encore moins à une fille aussi peu ouverte que moi, comme si à tout bout de champs, j'allais leur sauter à la gorge et les étripés avec une rage immense, -ils l'auraient bien mériter, en tout cas- je n'étais accueillis 'à bras ouverts' nulle parts, je devais mériter ce que les gens voulaient bien me donner, sourire pour avoir un peu de confiance des adultes. Parlons-en de ces adultes ? Adultes bien naïf de croire au retour possible 'du bien' dans la tête du Seigneur des Ténèbres. Et comme toujours je devais me débrouiller seule, puis un jour, je me suis rappelée de la devise de mes parents : "ne jamais compter sur les autres, ni sur l'argent des autres ou sur son argent, faire tout par soi-même et la satisfaction ne sera que plus grande" et encore une fois mes parents avaient totalement raison. J'ai fais mon petit bout de chemin, j'ai travaillée dans l'agence de mes parents, j'ai continuée mes entraînements en solo, j'ai dû parfaire les langues que j'avais apprise au cours de mon enfance, j'ai même dû parfaire mon éducation moi-même, sans l'aide de personne. Comment bien se tenir en société, savoir retenir son sang-froid en toute circonstance, être une adulte à part entière. J'ai dû travailler ma réputation, me faire plus blanche que blanche pour le côté des gentils et plus sombre pour le côté des méchants. Être deux personnes, deux entités, deux tête pensante. J'y suis parvenue, aujourd'hui je travaille pour le Ministère, au compte de l'ordre du Phénix anonymement. Je surveille les réseaux de cheminettes, je fais passer les résistants de là à là et de l'autre, je surveille les mangemorts. Une vraie petite espionne, que je n'échangerais pour rien au monde. Un petit monde d'adultes palpitant et là où je peux utiliser mes connaissances avec aisance et faire des petits tours sous le nez des 'monsieur les mangemorts'.

Trop souvent, ce qu'on désire le plus au monde, est justement ce que l'on ne peut pas avoir. Le désir parfois, peut vous briser le cœur, vous anéantir. Le désir peut faire de votre vie un enfer. C'est dur de vouloir quelque chose qu'on ne peut pas avoir. Mais ceux qui souffrent le plus, sont ceux qui ne savent pas ce qu'ils veulent.

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MessageSujet: Re: Jett - « la vie c’est une merde par jour, faut t’habituer à l’odeur »   Jett - « la vie c’est une merde par jour, faut t’habituer à l’odeur » EmptyDim 20 Jan - 21:20

Bienvenue :)

Si tu as la moindre question le staff et là ! :D

Have fun !
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Jett - « la vie c’est une merde par jour, faut t’habituer à l’odeur »

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